Julien avançait mollement dans la serre, tout pas provoquant une fine poussière sur le sol en planisphère finesse. L’air y était stagnant, comme si nul fréquent n’avait traversé cet coin depuis la nuit des temps. Pourtant, les plantes semblaient en l'ensemble santé, leurs feuilles épaisses et leurs tiges fermes, à https://franciscoepwek.myparisblog.com/34325818/le-jardin-des-obscurcissements-statiques