La nuit tombait sur Venise, et la tisserande continuait son poste dans l’ombre tamisée de son fabrique. Son poste de travail à exagérer, fidèle animal de compagnie de ses prédictions silencieuses, laissait évoluer des fils d’or et de soie entre ses main. Le tissu qu’elle créait semblait vibrant, presque qui https://felixpdlsz.blogpostie.com/55329087/les-fils-du-sort