L’étranger errait dans les ruelles du carnaval à toute heure, empruntant la voie de le masque colorés qui semblaient figés dans un sorte d’oubli hypnotique. Chaque participant dansait sociablement, sans jamais s’arrêter, comme s’ils étaient pris dans une guiche temporelle dont personne ne se souvenait l’origine. Il se demandait combien https://arthurfzlwf.loginblogin.com/41137088/le-sorties-des-identités-perdues