L’aube se levait sur Pékin, baignant l’atelier du calligraphe d’une date pâle. Les obscurcissements de la nuit s’effaçaient brin à brin, mais sur le papier de riz, d’autres ombres persistaient. Comme n'importe quel matin, il se dirigea métrique son bureau, le cœur serré par l’anticipation. Il savait que de nouveaux https://fernandolkcse.dreamyblogs.com/34254760/le-dernier-souvenance