La gare était plongée dans une brume dense, un rideau épais qui absorbait les sons et les lumières artificielles du quai. L’horloge suspendue au-dessus de un pont indiquait minuit, l’heure exacte du départ du train. Le passager se tenait immobile, empruntant la voie de l’immense appareil d’acier morose qui sifflait https://martinzqhwk.getblogs.net/66478877/le-train-sans-renouveau