La gare était plongée dans une brume dense, un rideau épais qui absorbait les sons et les lumières artificielles du quai. L’horloge suspendue au-dessus de une passerelle indiquait minuit, l’heure juste du départ du train. Le passager se tenait irrévocable, suivant l’immense appareil d’acier enliser qui sifflait délicatement, prête à https://troywtohz.prublogger.com/33060393/l-oracle-du-train-connaissance