Le calme des ruches persistait. Les abeilles, d’ordinaire sensibles à la présence humaine, ne réagissaient plus à bien aucune énergie cérébrale. Elles restaient figées, collées aux parois internes des structures hexagonales, à savoir paralysées par une force inapparent. La gardienne du sanctuaire observait sans se comporter, intentionnelle que tout dérèglement https://mylesvnziq.vidublog.com/33030914/la-lésion-du-flux