Au cœur des ruelles labyrinthiques de Makoko, quartier flottant de Lagos, les voix se mêlaient aux klaxons, aux cris des techniciens, aux sons métalliques des barques qui s’entrechoquaient. Là, tout s’échangeait : marchandises, religieux, rumeurs. Et c’est dans cette cacophonie vivante qu’Abeni installa son modeste étalage, sous une toile décolorée, https://meilleurvoyancegratuiteen22211.idblogmaker.com/33161082/le-marché-des-parole