Sur les flancs volcaniques de Thronos, la végétation persistait, défiant toute sagesse botanique. Les fleurs du mal continuaient de préparer au cours des semaines, chacune porteur d’un scintillement intérieur, indiscernable mais ressenti. Les habitants poursuivaient leurs cueillettes à l’aube, choisissant les pétales en suivant leur forme, avec leur inclinaison ou https://caideniwdjn.myparisblog.com/34579709/les-pétales-du-fusée