La station polaire, mise en place pour tenir aux chocs météorologiques extrêmes, vibrait imperceptiblement sous les fréquents soudains qui agitaient l’air saturé d’humidité. À l’intérieur, les miroirs assemblant le dispositif de voyance s’étaient déplacés délicatement à la fois la nuit, sans intervention humaine ni mouvement de l’atmosphère mesurable. Le voyant, https://eduardoleuiv.tkzblog.com/33863755/la-journée-inversée