La journée matinal s’étendait mollement sur les toits d’Istanbul, mais dans l’atelier d’Elif, ce n’était pas la limpidité qui guidait les déplacements. Le macrocosme y vibrait d'une autre façon, via les reliefs, les consistances et les sons ténus du calme. Dès les premières heures journaliers, les voyances commençaient à affluer https://martinosvzb.ja-blog.com/34158315/la-surface-et-l-ombre