Chaque matin, avant l’arrivée du premier visiteur, la guérisseuse descendait dans l’ossuaire en silence. Le sol était vivement passif, même par-dessous les chaleurs écrasantes de la saison. Là, disposés de peu sur des dalles brisées, les crânes l’attendaient. Elle ne les touchait jamais sans un tic de clarification, en accomodant https://connervdimp.blogtov.com/14699511/les-crânes-silencieux