À Orléans, en l’an 2222, la commune ne vibrait plus que marqué par le chant grave des machines. L’air lui-même semblait scellé dans un indéfectible vacarme de métal, rompu simplement par le chuintement des véhicules autonomes et les murmures encodés des interfaces holographiques. Dans ce décor ultramoderne, un endroit jurait https://michaeld444dwp6.nizarblog.com/34385400/les-géométries-du-destin