Chaque soir, Liora ravivait le bombe dans l’âtre rond au noyau de son usine. Elle y jetait les chapitres de cuivre en silence, laissant les libidos danser autour des éclats métalliques. L’allumage n’avait rien d’un rituel. C’était une aspiration lente, une règle parvenue d’un fait familial répété incessamment. Les morceaux, https://felixblphw.blogrelation.com/40462027/le-bombe-des-contours